Aujourd’hui, notre challenge est de déployer de nouvelles solutions de traitement des eaux fondées sur la nature. 

De façon parallèle, il est nécessaire d'étudier les différentes options de valorisation de l'ortie afin de répondre aux besoins émergents des industriels (biostimulants, fibres tissées, fibres non-tissées...).

Pour valider le concept de la Station de Traitement des Eaux du Futur dans sa globalité et enclencher un changement d’échelle, il est nécessaire de :

→ Valider la station comme dispositif de traitement pour les eaux avec la zone de traitement tertiaire agroforesterie applicable à l'assainissement, à l'industrie, aux lacs, aux effluents d’élevages… 

→ Industrialiser la production de plants et l’implantation 

→ Réaliser une dizaine de sites expérimentaux d’une surface de 20 ha, assurer le suivi, les recherches et le retour d'expériences

→ Mécaniser la gestion des sites et la récolte 

→ Pré-industrialiser la valorisation des co-produits

→ Valider l'utilisation du purin d'ortie pour les sociétés agricoles : dose-effet/certification

→ Identifier et lever les freins réglementaires « eau » et « co-produits »

→ Identifier les industriels clefs de la filière

Les besoins en recherche et développement pour l'émergence du projet sont estimés à 4 millions d'euros. Des dispositifs de financements ont été identifiés à savoir : France 2030, FEDER, FEADER...

C'est pourquoi nous avons décidé de faire appel au mécénat sous forme de dons, de partenariats, d'investisseurs ou encore de partage de compétences sur les plans juridiques, administratifs, techniques ou encore sur l’ingénierie du projet.

De façon complémentaire, la création d'un pôle de compétences mettant en synergie les différents acteurs nous paraît opportun.